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Le présent document fait état des conventions adoptées par Scoring Media dans le cadre de la réalisation de la pige quali/quanti de la presse magazine.
Une des missions de Scoring Media est de permettre aux acteurs BtoB de l’industrie publicitaire (annonceurs, agences médias, éditeurs et régies) de disposer d’une veille publicitaire indépendante, adaptée à l’analyse de leurs marchés. À ce titre, le catalogue des supports traités est régulièrement enrichi en fonction des lancements observés, des nouvelles perspectives qu’ils constituent, ou encore à la demande de clients.
Tous les supports « print » et numérique, excepté la PQR et les journaux d’annonces.
Exemples :
Les historiques proposés par Scoring Media couvrent des exercices complets, de janvier à décembre (en daté facial). En cours d’année, les supports qui font l’objet d’une ouverture sont systématiquement réactualisés jusqu’au 01 janvier de l’exercice en cours.
Le cas échéant, ils peuvent également être “rétro pigés” sur l’exercice antérieur, à la demande des clients.
L’historique commandé est dans ce cas facturé en supplément, au tarif en vigueur.
Scoring Media achète 90% de sa presse et possède une réserve importante de supports qui restent à ouvrir. Cette disposition nous permet, à notre initiative ou à la demande, de reconstruire un historique complet, même sur des périodes échues.
Sont traités par Scoring Media, toutes les parutions régulières d’un support, ainsi que les hors-série, numéros spéciaux et guides annuels. Les suppléments dès lors qu’ils ne font pas l’objet d’une diffusion réduite ou à leurs abonnés, ou régionale sont également pigés.
Les éditions nationales sont tirées de la région IDF.
Ne sont pas couvertes les éditions régionales ainsi que les opérations réduites aux abonnés
Les données quali & quanti traitées par Scoring Media sont mises à jour en temps réel sur le site Scoring Media.com
Chaque utilisateur abonné dispose de codes d’accès privatifs qui lui permettent d’accéder à son compte de partout, à partir d’un simple accès Internet.
Tous nos abonnés ont la possibilité d’être alertés gratuitement en push de chacune des parutions des supports de leur choix, dès lors que ces derniers ont été souscrits dans le cadre de leur abonnement.
Contractuellement, Scoring Media s’engage sur une mise à disposition à J+1 date de parution kiosque (ou de réception d’abonnement pour la presse professionnelle). Dans les faits, la pige est dans 60% des cas disponible avant 14H00 dès le jour J ; et à 90% le jour J.
«Étant donnée la fluctuation importante des paginations et des parutions en kiosque, il nous est impossible de garantir une mise à disposition impérative, le jour J, avant midi.
Cette option (payante) est cependant proposée aux éditeurs et régies qui en font la demande.
Par défaut, les datés faciaux sont les périodes prises en référence par nos moteurs dans le cadre de vos requêtes.
Exemple :
Le numéro de semaine de parution en kiosque est également indexé à chaque édition.
Exemple : Jeu 13 Septembre 2012 = Semaine 37
Nous renseignons systématiquement dans notre back-office 4 dates de référence par édition :
N° daté facial
En date (date de parution en kiosque)
Date de parution
Reçu le
Le décompte de la publicité est exprimé en volume, sur la base du format du magazine.
Les suppléments lorsqu’ils sont foliotés indépendamment sont pigés à la suite du support.
La pagination de chaque édition est automatiquement calculée par nos outils dès lors de la validation du BAT par nos pigistes correcteurs.
Ces statistiques sont affichées à titre informatif en vis-à-vis de chaque couverture, dans nos pages d’affichage du détail des insertions d’un magazine.
Ils sont comptabilisés en fonction de leur nombre de pages une fois façonné, et ce, quel que soit leur format.
Par exemple, un 2 plis roulé sur la base d’un format A4 (soit 3 volets), sera comptabilisé 6 pages.
Ils sont systématiquement indexés en back-office selon 3 critères :
Encart jeté
Encart piqué/broché
Encart collé
Exceptés pour les encarts collés, qui sont foliotés sur la page qui les porte, les encarts sont systématiquement indexés au folio pair qui marque le poste de brochage.
Un « e » est apposé à chaque folio signalant un emplacement d’encart.
Quand un encart est placé au dos du magazine, il est affecté au folio de la 4ème de couverture, associé à la lettre « e ».
Les encarts sont attribués à leurs annonceurs respectifs. S’il est constaté une commercialisation d’espace pour un tiers, ce dernier n’est pas pris en compte, les accords commerciaux le liant à l’annonceur n’étant pas du ressort de la régie.
S’ils sont piqués dans le magazine et foliotés dans sa pagination, ils sont considérés comme partie intégrante du support.
Dans ce cas, la couverture doit être pigée et codifiée en « page recto», nomenclature « + produit, supplément ». Elle sera foliotée comme une page de magazine.
Les éventuelles insertions de ce cahier (ou suite de pages) sont alors toutes considérées comme faisant partie intégrante du magazine.
Les suppléments multiples font l’objet d’un traitement distinct et à la suite : S1, S2, S3, S4.
La pagination totale de chaque supplément est comptabilisée, son emplacement dans le magazine (ou en couverture), avec mention de son objet ou intitulé.
Le visuel de la 1e page est dans ce cas pigé et fait fonction de couverture dudit supplément.
Les éventuelles publicités présentes dans ce type de supplément sont renseignées avec le folio spécifique à chaque cahier.
Sur le site, l’affichage des suppléments se fait en fin de magazine, à la suite de la 4e de couverture.
Plusieurs suppléments pouvant cohabiter dans une même édition. La mention S1, S2, S3… renseignée en back-office permettant de les dissocier.
Un supplément peut contenir un encart. Ce dernier est pigé comme dans le cadre de la pagination du corps principal du magazine, mais associé à la numérotation de page en référence au supplément dont il fait partie intégrante.
L’affichage des suppléments est une fonction débrayable par les utilisateurs dans le cadre de leurs requêtes.
Dès lors qu’ils sont mentionnés «publi-info», « communiqué », « publi-communiqué », «publi-reportages»… les publi-informations sont pigés et comptabilisés dans la pagination publicitaire du magazine.
Ils peuvent cependant être écartés ou sélectionnés, à partir des filtres de requête d’une part, ou encore de la fonction paramétrage par défaut d’autre part.
Il est constaté dans la presse féminine notamment, que des insertions identiques font tantôt l’objet d’une mention « publi-information », tantôt d’une mention « actualité commerciale ».
Il n’est pas du ressort de Scoring Media d’arbitrer ce type de décision, et de fait, nous traitons les « actualités commerciales » uniquement lorsqu’elles sont indiquées comme telles, ou précédées d’une mention « rubrique réalisée à l’initiative du service commercial».
Comme pour les publi-informations, les actualités commerciales peuvent faire l’objet de paramétrages de préférences pour leur affichage.
Scoring Media traite l’indexation systématique de toutes les annonces supérieures au 1/8e de page, dès lors qu’il ne s’agit pas d’annonces au lignage.
Les annonces propres à un éditeur, ou sur lesquelles figure le logo de l’éditeur ou d’un de ses supports, sont comptabilisées en partenariat, dans la nomenclature correspondante à l’objet de la campagne (se référer à notre nomenclature).
Cependant pour Stratégies et CB News, ce type d’annonce doit être classé en page regular (pages commerciales).
Ces annonces seront indexées par Scoring Media jusqu’au format 1/10e.
Dès lors qu’un partenaire unique est identifiable, les annonces de dotation de jeux concours sont attribuées à l’annonceur partenaire (mais comptabilisés en partenariat : « presse – dotation jeu-concours ». L’objectif est ici de permettre aux régies de détecter avec Scoring Media les initiatives de leurs concurrents, comme de leurs clients.
Les échantillons de parfum, shampooing, crème de soins quand ils sont collés sont codifiés sous la mention « échantillon » qui apparaît dans le texte de l’objet de la campagne.
Ils sont comptabilisés à hauteur d’une page, en encart, quand ils sont jetés.
La cellule codification « échantillon » permet d’opérer à des requêtes filtrées et paramétrages de préférence.
Ils sont comptabilisés en encart et valorisés à hauteur d’une page par face imprimé, quel que soit leur format.
Toute annonce dont l’annonceur ne peut être identifié est affectée au RCS de l’entreprise s’il apparaît, ou par défaut, au numéro de téléphone, ou encore adresse du site Web s’ils sont mentionnés.
Les annonces offres et demande d’emploi, modules, petites-annonces et lignages ne sont pas pigées mais sont extraites du volume total de pagination du titre.
CD-Rom, Poster, booklet sont indiqués à titre qualitatif (case à cocher).
Priorité est donnée à l’objet de la campagne (ceci afin de permettre aux régies de détecter les opportunités de prospection dans le cadre de la préparation de dossier thématiques). Ainsi, un revendeur informatique qui communique sur une offre spéciale disques durs, sera codifié « périphériques de stockage – disque dur ».
En revanche, lorsque la communication est générique et associe différents types de produits, la codification à respecter est de type « commerce – informatique – tarif » ou encore, « commerce informatique – promotion de l’enseigne »
Toute nouvelle campagne ou tout nouveau visuel faisant l’objet d’une modification significative de la création est identifiée « Nouveau », et ce, durant 30 jours à compter de sa date de création dans nos bases (soit la date de parution du magazine).
Les variantes de format ne sont pas soumises à cette règle.
La nomenclature Scoring Media compte est organisée sur 4 niveaux.
Elle est régulièrement actualisée en collaboration avec nos clients afin de correspondre aux évolutions du marché publicitaire. Consulter la Nomenclature produit Scoring Media.
